« Chantez au Seigneur un chant nouveau,
Chantez au Seigneur, terre entière,
Chantez au Seigneur et bénissez son nom ! »
(Psaume 95)
Dès ici bas, le Seigneur nous invite à chanter, à jouer sur la harpe et la cithare, à danser au son des trompettes, des flûtes et des tambourins. Dieu est plein d’Amour, plein d’humour, plein de gaité, d’une éternelle jeunesse ! Oui, notre Père est d’une jeunesse qui ne passera pas ! Etonnant, non ? O comme il est bon de savoir qu’au Ciel, nous ne cesserons pas de chanter louange à notre Dieu, de nous réjouir par Lui et en Lui. Mais déjà ici et maintenant, c’est possible : quitte ta robe de tristesse, Jérusalem, pousse des cris de joie, fille de Sion, danse et joue, chante pour ton Roi ! Et tous savons trop bien que quelques belles notes de musique, qu’une jolie voix, plongent immédiatement l’âme dans des profondeurs et des joies insondables, tout en la propulsant vers des sommets de spiritualité… Alors, « oui, Seigneur, ouvre mes lèvres, et ma bouche annoncera ta louange » (psaume 50), et chantons, oui, chantons au Seigneur un chant nouveau, car Il est Dieu, qu’Il nous le demande et qu’Il sait trop bien ce qui nous rend heureux ! La nouvelle évangélisation passe par là, c’est sûr !
« Jusqu’aux cieux, ta splendeur est chantée par la bouche des enfants, des tout-petits : rempart que tu opposes à l’adversaire, où l’ennemi se brise, en sa révolte »
(Psaume 8)
O que notre belle jeunesse, qui est le sel de la terre, est importante pour le Ciel ! Puissiez-vous trouver ici quelques ressourcements et quelques idées jaillissantes, et nous serons comblés : Go les jeunes, l’Eglise a besoin de vous ! Vous êtes son avenir intégral : Chantez, jouez, sortez vos instruments, vos belles voix ! Et surtout, n’hésitez pas à parler de votre désir de jouer ou de chanter pour le Seigneur aux personnes de votre paroisse et à votre curé : il y a tant à faire pour réjouir les cœurs !
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